Auteur/autrice : Lüma

Certains passent toute leur vie à se questionner : c’est quoi le Bonheur ? C’est parfois de le rechercher…

Si l’on bâtissait la maison du bonheur, la plus grande pièce serait la salle d’attente. Jules RENARD

Il y a des jours où l’on n’a pas les idées en face des trous et que l’on est ennuyé par cette méchante impression que plein d’onglets refusent de se fermer dans notre tête. En langage « instit », on appelle cela « une Rentrée ». Bonne rentrée à tous !

Étudiez comme si vous deviez vivre toujours ;  vivez comme si vous deviez mourir demain. San Isidro de Sevilla.

L’activité d’écrivain public n’est vraiment pas routinière ! Parole de Lüma…

Si vous pensez que l’Aventure est dangereuse, je vous propose d’essayer la routine… elle est mortelle. Paul COELHO

Quand tu dépannes un copain…

Tout travail mérite sa bière.

Difficile de savoir ce qu’est un(e) ami(e) alors que les réseaux sociaux nous en accorderaient volontiers des centaines ! Jules RENARD prétendait qu’un ami, c’est celui qui devine toujours quand on a besoin de lui…

Ce n’est pas tant l’intervention de nos amis qui nous aide mais le fait de savoir que nous pourrons toujours compter sur eux. Épicure

Bascule vers la Rentrée ; il paraît que le vélo, ça ne s’oublie pas. Mais ne faut-il pas redouter le mal de selle ?

La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre. Albert EINSTEIN

Les Anglais prétendent que le paresseux appelle « chance » le succès du travailleur… Je vous souhaite d’avoir un peu de chance en Amour, aux jeux voire en cuisine en ce vendredi 13…

“La chance s’attrape par les cheveux, mais elle est chauve.” Stendhal

Petite pensée de Jules RENARD…

“Bravo ! Nous ne savons même pas le dire en français.”

Sagesse masculine…

Pourquoi contredire une femme ? Il est tellement plus simple d’attendre qu’elle change d’avis ! Jean Anouilh

Jean-Baptiste POQUELIN, alias Molière, avait parfois l’esprit coquin… (Le Bourgeois gentilhomme)

– Vous aurez beau faire Monsieur, dit la jolie marquise, vous n’aurez jamais mon cœur.
– Je ne visais pas si haut, Madame.