Rentrer à l’école, c’est mesurer que les vacances passent plus vite que les cours… Amer constat de ma 33ème rentrée : je reviens épuisé des 3 premières journées de classe ! C’est décidé, demain, je vais compter les « dodos jusqu’aux prochaines vacances » ! Allez, même si j’aime en plaisanter, je veux croire qu’enseigner reste un beau métier et j’espère que toutes les personnes qui œuvrent utilement dans des écoles auront conscience d’apporter leur pierre à un bel édifice. Construire de l’humain, ce n’est pas simple ! Plein de foi, de santé et de courage à tous !

« Le problème de l’école, c’est qu’elle t’apprend des choses dont tu n’auras jamais besoin… sauf à l’école. » Coluche

Marie : un prénom qui ne compte pas ses dérivés. Un prénom que portaient mes deux grands-mères et dont a hérité une de mes filles. « Mariegolote » est devenu son surnom, tant elle sait plaisanter sur de nombreux sujets. En ce 15 août, je souhaite une bonne fête à toutes celles – et ceux ! – qui portent ce beau prénom.

« Marie, qui voudrait votre beau nom tourner, il trouverait Aimer. » Pierre de Ronsard

Difficile de le croire, mais, en Arabie Saoudite, tu seras considéré « vieux » dès lors que tu auras soufflé 55 bougies ! Voilà qui te fait de la peine, alors que tu viens d’opérer la bascule ! Parfois, tu te dis que tu as de beaux restes ; puis tu refermes le frigo… Et puis, lorsque des jeunes te doublent en t’enrhumant pendant ton footing, tout en discutant sans s’essouffler, la réalité te rattrape : le problème avec la jeunesse, c’est que tu n’en fais plus partie ! Pas grave, tu vas t’accrocher pour rester « vintage » !

« Quand on commence à comprendre les jeunes, c’est qu’on vieillit. » Michel Audiard

…routes mouillées ! Difficile d’accepter des vacances pluvieuses, mais quand tu séjournes au Pays basque, tu SAIS que l’été manque rarement d’arrosage ! Ce matin, je voulais sortir faire un footing, mais la pluie a dit « non ». Qui suis-je pour contredire la pluie ? Ce soir, je pensais chanter en plein air et en bonne compagnie, mais la prudence nous a conduit à tout annuler. Dommage ! Va falloir s’armer d’une patience étanche…

« Certains ressentent la pluie, d’autres sont juste mouillés. » Bob Marley

Les fêtes de Bayonne clôturent aujourd’hui ce long bal – aussi sonore que coloré – que j’ai toujours plaisir à traverser. Les rencontres sont multiples et les surprises ne manquent pas ! La seconde bière rend les accolades plus sincères et chaleureuses : la poignée de mains laisse vite place aux embrassades, y compris avec des personnes à qui il ne me serait jamais venu à l’idée de claquer la bise en dehors de ce contexte. J’ai eu la chance de donner de la voix au sein de l’équipe des Txalopetak : 1 dame et 7 gars n’ayant d’autre ambition que de chanter à pleins poumons avec le concours généreux des « passants » : une initiative qui dessine tellement de sourires ! Parmi nos succès sur paper-board figure le fameux « Il en faut peu pour être heureux. » (Baloo, le Livre de la jungle). Tout est dit…

N’oubliez pas de fréquenter des gens heureux, car le bonheur est contagieux.

Pas évident que la sagesse s’installe, mais l’analyse de certains débats d’idées se fait plus précise avec l’âge. Tout comme la volonté d’avoir le dernier mot. Quand tu bosses avec un entourage très féminin, ou bien dans ton foyer, tu comprends qu’il n’est pas utile de batailler quand ta collègue ou ta fille ne partage pas ton avis. Soit tu te tais et tu te dis que le temps fera son œuvre ; soit tu te tais et tu suis secrètement ton idée… Bref, mieux vaut se taire !

Dans un couple, il faut garder un bon équilibre. Un jour, c’est elle qui a raison, un jour, c’est lui qui a tort…

Je suis effaré de lire les commentaires tellement haineux que certains déversent sur les réseaux sociaux à l’encontre d’une personne qui n’est sûrement pas devenue célèbre à cause de ses seuls défauts : sportif, chanteur, politique, patron ou simple personne défendant une cause… Plus inquiétant encore : couleur de peau, religion ou régime alimentaire peuvent valoir le pilori ! La haine grandit dans les rues, les stades et les réunions de quartiers. Il est urgent de relire les « petites béatitudes » de Joseph Folliet !

Si l’on te rapporte qu’untel a dit du mal de toi, ne cherche pas à te défendre de ses accusations, mais réponds simplement : «Je vois qu’il ne connaissait pas tous mes défauts, sinon il en aurait dit bien davantage !» Epictète

Quand tu as mangé du poisson toute cette journée du premier avril, tu te dis que tu peux bien blaguer un peu, à ton tour. D’accord, humour un peu borderline, mais je n’ai pas pu m’en empêcher. En tout cas, malgré le retour tant espéré du soleil, mieux vaut ne pas trop se découvrir !

En avril, ne te dénude pas d’un fil. Claude François

Il est des réussites que l’on a pu savourer à un moment donné avant de les trouver insignifiantes quelque temps plus tard… Marcher seul, faire du vélo sans les petites roues, compter jusqu’à 10…voire résoudre les 6 faces d’un Rubik’s cube ou décrocher son baccalauréat ! Accompagner la réussite, c’est avant tout croire en l’autre et lui donner les moyens d’exploiter son potentiel : tout un programme pour des parents, des enseignants, des assistants de vie ou de bons copains. Donnons l’envie d’essayer !

La réussite commence toujours par la décision d’essayer. John F. Kennedy

Comme il est difficile de remonter le moral de personnes qui broient facilement du noir… Certaines souffrent de phobophobie (= peur d’avoir peur), ou de péniaphobie (= la peur constante d’être pauvre et de ne pas réussir sa vie), voire d’ergophobie (= peur du travail, d’exécuter une tâche). Alors, quand tu cumules les trois, c’est jackpot ! Difficile de cultiver les pensées positives et de ne pas finir par broyer du noir quand on discute avec elles ! Heureusement que l’on peut compter sur les chaînes d’informations en continu pour retrouver le sourire ! On y croise quelques « électrons libres » de la politique ou du sport ; un électron étant, par définition, porteur d’une charge négative… Il est urgent de positiver !

« Tenez vous loin des gens négatifs ; ils ont un problème pour chaque solution. » Albert Einstein